Histoires

A la mer ,



Corps nus alanguis.
Ton cockring se serre autour de ton sexe.
Pourquoi chercher à cacher ce sexe qui t'épingle et te désigne ?

Une femme à petite distance semble n'avoir rien perdu à notre manège et s'interroge sur la chose ;
Je vais l'inviter à s'approcher puis à nous rejoindre si le cœur lui en dit.
Je t'en fais part.Tu parais tétanisé, tes yeux inquiets interrogent l'air tout autour;

« Et si je t'offrais sans préambule à cette femme ? Afin de renverser les habitudes, bousculer les impossibles. »
« Te voir à nu dans tes grandes œuvres et manœuvres »

Bien entendu cela va demander une maîtrise particulière de mon Ego, ce sera donc une épreuve pour tous les deux.

« Hé ! Mon Lou, cache un peu cette « joie » que tu exhibes malgré toi et mets toi à genoux, tu vas devoir accepter. Pas admettre mais bien accepter ! »

La femme, entre deux ages, paraît incarner, au naturel, tout ce que je m'efforce de voiler, d'embellir culturellement : elle sonne un peu vulgaire, franchement même à la voir d'un peu plus près.
Sous le blond platine, la racine des cheveux à reteinter confirment l'allure vaguement putasse.

« Tant mieux !!! Tu en voulais, et bien tu vas en avoir. Gare à ta queue !
Si je la laisse faire, l'ordurière cannibale va t'empoigner et t'avaler sans crier gare !!! »

Je la tance, pour la faire sortir de la feinte de sa semi réserve.
Surjouant :

- « Madame, regardez dans quel état vous avez mis le petit, vous devriez avoir honte ! »
Elle, minaudant : - « Je n'y suis pour rien, je vous avais à peine remarqués »
L'air sévère je force le trait et te fusille du regard.
- « En effet, je te crois bien coupable. Ca ne peut être que toi l'auteur de ce morceau de bravoure qui se dresse et se balance là éhontément.
- Baisse les yeux !! Là, oui, juste entre tes cuisses ! »

Elle renchérit :
- « Je lui trouve l'air un peu sournois.
Comme si au fond de lui, il était encore prêt à en tirer profit, quitte à en tirer quelque mâle gloriole ? »

A mon tour :
« Les Glory Holes c'est nous mais tu ne nous auras pas !!!
Mais pour qui te prends-tu misérable pourceau ? »
« On bande comme un chien ? On sent enfler sa sacro sainte Virilité ? »
« Qui t'a fait croire que t'avais le truc magique, à faire, de plaisir, pâmer La Femme, celui de combler toutes les femelles, et, sans distinction aucune, le même « truc » prêt à bourrer toutes les salopes qui se cacheraient derrière la première adorée. »
« Salades ! Bien sûr, tu t'es fait avoir !!!

Et bien tu vas voir, nous allons rompre les habitudes.

D'ordinaire, le paon se pavane dans cette attitude de « bon baiseur », mais là, bien sanglé comme tu l'es, je suis sûre que tu n'y es pour rien, ça ne peut être qu'un simple réflexe de bon aloi, de bon toutou pavlovien.

C'est parfait !! Comme ça, on va pouvoir rester en famille.
As-tu remarqué comment les chiennes s'accroupissent pour faire leurs besoins ?

Sais-tu de quoi, j'ai besoin, là en te voyant ?
Comme toutes les femmes qui veulent bien se l'avouer, c'est de se satisfaire.
Tu vas ouvrir grand tes yeux et regarder ce que font les dames de ton ridicule joujou.
« Allonges–toi, ne bouge plus sinon tu vas m'obliger à t'attacher, et savoure le paysage ! »

J'enlace la blonde intriguée par le jeu, déjà fort excitée et décidément prête à tout.
- « Ecarte bien tes cuisses toi aussi et mets tes hanches à l'aplomb de son visage.
- Ce petit vicieux aime bien épier la Vie qui pulse de nos sexes de femmes. Cette fois ce sera coup double. »
Je force ses lèvres, et touche de ma langue avide de baiser, les portes d'un palais tiède et humide ;
Nos langues se mêlent avec frénésie comme si nous tentions l'une et l'autre de nous suggérer un tout autre baiser. Plus intime, plus dangereux.

La sensation d'une perle de liquide chaud et gluant se fraie un chemin entre les petites lèvres de mon sexe ; Mmmm, je cambre mes reins et splatch ! la petite goutte brûlante glisse vers l'avant et atteint sa cible : mon clito frissonne sous la brise de mer et commence à se dresser de désir.
Aussitôt, j'imagine sa chatte en miroir de mes sensations

Toujours debout, enlacées voluptueusement, nous démarrons sous ton nez, une petite danse ajustée, collée serrée, je la force en douceur à reculer à l'aplomb de tes hanches.

Ce spectacle à l'air de te plaire, à voir l'ampleur de ton expansion virile soudaine. Et oui, c'est que frottant nos petites mottes l'une contre l'autre, nous nous rapprochons de fait peu à peu, de l'épicentre turgescent, autre sorte de nombril du monde.

Cette inflation in-maitrisable, est-ce la peur de ce qui t'attend ou le spectacle de nos chaleurs animales qui a d'ailleurs, à distance raisonnable, attiré deux ou trois hommes envieux et baraqués ?

- « Allons ma chienne, accroupis-toi dans mes bras. Allons nous agiter sur cette queue offerte à tous les vents. »

Nous passons un moment d'infinie complicité à frotter ensemble nos sexes autour de ta queue, te faisant endurer le supplice de n'être qu'un instrument entre nos désirs.

Jamais nous ne nous empalerons dessus, c'est trop bon ainsi, à juste distance.

Et tandis que le plaisir envahit violemment nos ventres, je lui ordonne de pisser ;

nous nous redressons d'un coup et sous le regard ahuri des honnêtes voyeurs, nous célébrons notre vice en t'inondant du flot ininterrompu de nos liquides mêlés.

La honte se tisse à un plaisir qui te dépasse et je te vois t'évanouir dans un rêve de félicité.

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